Le regard dispersé Les nuits déportées Devenant surréelles Elles emportent avec elles Des parcelles de nous-mêmes Sans deuil ni recueillement Quel cruel cheminement Les cœurs catapultés Se criblent dans la lignée D’une grande indignation Oh ! Ames espacées Meurtries sans sommation Saisies par l’effroi Signant le désarroi …
Chauvin: Bonjour, je suis très intéressé par le sujet. En revanche je ne trouve pas la da...