J’ai fait un rêve…

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Après une année 2022 particulièrement éprouvante pour nous tous que ce soit sur la scène internationale ou dans notre commune, j’ai fait un rêve pour cette nouvelle année.

J’ai rêvé que notre municipalité s’engageait résolument dans la transition écologique afin de contribuer effectivement à la réduction de l’utilisation  des énergies fossiles et à la lutte contre le réchauffement climatique.

J’ai rêvé que notre municipalité arrêtait de détruire le patrimoine remarquable de notre commune (pavillons en meulière…) pour construire des immeubles standardisés et sans charme.

J’ai rêvé que notre municipalité donnait enfin la priorité à la petite enfance (en recréant les places de crèches supprimées), à l’enfance (en évitant que nos élèves soient accueillis avec des températures inférieures à 18°C dans nos écoles), et aux plus fragiles de nos concitoyens (en augmentant les moyens du CCAS).

J’ai rêvé que notre municipalité s’occupait de la qualité de l’espace public dans tous les quartiers de la ville (végétalisation pour éviter les ilots de chaleur, lutte contre les dépôts sauvages d’ordures….)

J’ai rêvé que notre municipalité soutenait les amicales de locataires face aux bailleurs sociaux et autres propriétaires qui ne remplissent pas leurs obligations (entretien des parties communes, gardiennage, réparations…).

J’ai rêvé que notre municipalité écoutait plus son opposition qui vote pourtant 70% des délibérations et fait systématiquement, en cas de vote contre, des propositions constructives alternatives.

J’ai rêvé que notre municipalité respectait plus ses habitants en mettant en œuvre une véritable démocratie participative qui consiste à consulter et à les associer dès la phase d’émergence d’un projet et pas en catimini une fois le projet finalisé.

J’ai rêvé de tout cela pour que notre commune soit plus écologique, plus sobre, plus sereine, plus dynamique, plus solidaire et plus social.

Bonne et heureuse année 2023 à Fontenay-aux-Roses, qu’elle vous apporte santé bonheur et prospérité.

 

Gilles Mergy

 

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