Hier, en descendant la rue Boucicaut (oui, c’est mal, j’étais à pied!) de la Cavée à l’Eglise, je me suis dit: “Ce Laurent Vastel, c’est vraiment Monsieur Fontaine…”. J’en étais là de mes réflexions (on fait ce qu’on peut) quand, obliquant vers le Parc Sainte-Barbe, je suis passé devant les panneaux électoraux… Une révélation! “Si Vastel c’est Fontaine, son ticket pour les départementales, c’est Bataille et Fontaine!”.
Qui ne se souvient pas de ce duo hautement dispensable de la télé des années 1990 et 2000, à l’origine d’émissions où le fake était la règle et le caniveau le lieu des débats? Où le téléspectateur était appelé à la crédulité et à l’absence de réflexion? De Drôles de petit champions!
Quelques titres des émissions qu’ils ont présenté trouvent aujourd’hui un écho intéressant dans notre Fontenay et chez notre Maire – conseiller départemental sortant au très haut débit et à l’open data:
– le Meilleur du pire (pour ce qui est de Très haut et du débit son bilan est incontestable: très haut(e), c’est l’opinion qu’il a de lui-même ; débit, c’est ses résultats (absence de soutien du collège des Ormeaux, absence d’influence sur Hauts-de-Seine habitats pour améliorer concrètement la vie des habitants des Blagis…) ;
– Y’a que la vérité qui compte: pour l'”open data” ça n’est pas encore ça, vu son manque de transparence (sur la densification, sur le budget, sur les projets de la ville communiqués au dernier moment) et d’ouverture (envers son opposition, envers ceux qui – comme l’association FARàVélo – ne sont pas tout à fait dans sa ligne politique).
– Coucou! (si vous voulez en savoir plus, tapez ce mot sur la barre de recherche de ce blog)
– Combien ça coûte? (au niveau de la ville, +18% sur la part municipale de la taxe Foncière…)
Y’a pas photo, Bataille et Fontaine, c’est démodé, passons à autre chose!
François Lebert
